Faire partie de l’équipe des Café Numérique est une des meilleures choses qui me soit arrivé ces dernières années. J’y ai rencontré une foule de personnes des plus intéressantes, tant parmi les organisateurs, que le public ou les intervenants ; nombre de ces gens sont maintenant des amis ou de proches collaborateurs. J’y ai appris une quantité hallucinantes de choses, tant en préparant mes sujets qu’en assistant aux thématiques (il n’y a qu’à parcourir la liste des sujets abordés pour se rendre compte de la qualité de ces rencontres). Je pense pouvoir parler au nom de toute l’équipe pour dire que l’organisation de ces soirées est aussi gratifiante qu’enrichissante.

Malheureusement une journée ne fait que 24h, il n’y en a pas plus de 7 par semaine et trop peu de semaines par an (ouf, 2012 est bissextile, ça nous fait 24h de plus), ce qui a amené plusieurs membres de l’équipe à démissionner ou se retirer quelques peu. Et c’est maintenant également mon tour de faire un pas de coté ; quitter l’équipe n’est pas à l’ordre du jour, mais je me vois contrains de ré-envisager mon niveau d’investissement. Ceteris paribus sic stantibus Vous l’aurez compris, le Café Numérique Bruxelles à besoin de vous. Alors si tu as envie d’organiser l’un ou l’autre évènement (nous faisons cela à tour de rôle), si tu désires assister à nos réunions d’organisation (une par mois), si venir régulièrement aux CaféN pour encadrer la soirée et y favoriser le networking t’enthousiasme, si communiquer sur tous les canaux est dans tes cordes ou si une seule de ces choses te tente : viens nous voir. L’implication n’est pas forcément lourde et les avantages sont infinis. Alors si tu te sens motivé pour participer et populariser le web et la technologie sur Bruxelles, que tu nous connaisses déjà ou non, viens nous rejoindre ce mercredi 11 janvier à 19h à l’Amour fou (si tu n’es pas dispo, reste les commentaires si dessous, notre Twitter ou notre Facebook pour nous faire savoir ton dire de faire partie de l’aventure). Tu n’es pas encore convaincu ? Regarde avec quel enthousiasme les organisateurs de la première saison en parlent (même 2 ans plus tard).